« J’ai fini Subtil béton il y a plusieurs jours, mais j’ai du mal à en parler de manière directe. Ce roman n’entre dans aucune case, ne correspond pas aux schémas classiques que l’on attend de la science-fiction. C’est comme si, pour l’aborder, il fallait prendre plusieurs chemins différents, les parcourir dans différents sens, sans que jamais, depuis aucun point de vue, on ne puisse en saisir la globalité… »
Alors voilà : un roman écrit à de nombreuses mains, dans des bibliothèques autogérées et mal chauffées, avec une perspective féministe radicale et anti-autoritaire, avec des dessins pour se faire du bien, de la colère politique et une grosse envie de changer ce monde, de parler de ce qui va mal en se tatouant un cheval sur le cul ou en collectionnant les coquillages, bref, un roman comme celui-là, on a envie qu’il circule, qu’on en parle, qu’on le critique…